« La photographie d’architecture provoque d’immenses déceptions » : dans un texte publié en 1960, Fernand Pouillon (1912-1986) témoignait ainsi de son hostilité pour les clichés architecturaux.
Le dessin est donc au cœur de cet ouvrage qui évoque l’œuvre de l’architecte prolifique, sorte d’anti-Corbusier qui a parsemé le pourtour méditerranéen de grands ensembles, du vieux port de Marseille à Alger. Les textes sont eux une invitation argumentée et documentée à poursuivre la recherche académique – en panne – sur cette figure centrale du second XXe siècle architectural.
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Pouillon l’anti-Corbusier
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°773 du 1 mars 2024, avec le titre suivant : Pouillon l’anti-Corbusier