Fidèle à sa vocation de valoriser les artistes actifs sur son territoire, le musée de L’Isle-Adam a récemment mis à l’honneur Pierre Gatier en présentant sa première rétrospective.
Celle-ci accordait logiquement une place cruciale à son œuvre réalisée dans le Val-d’Oise, où il s’installe au lendemain de la Grande Guerre après des années passées à Paris à immortaliser les élégantes de la Belle Époque. Organisée avec l’Institut national d’histoire de l’art (Inha), qui conserve de très nombreuses estampes de Gatier au sein de sa bibliothèque, le projet mettait surtout en valeur son travail graphique. Le catalogue qui en découle dresse un remarquable panorama de son œuvre gravé qui se distingue par la diversité des techniques expérimentées, de l’eau-forte aux aquatintes et gravures sur linoléum en passant par la pointe sèche et le burin. Malgré son prix modique, l’ouvrage offre un corpus iconographique de grande qualité, les reproductions rendant en effet avec finesse les nuances entre les différents médias.
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Pierre Gatier, côté Oise
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°754 du 1 mai 2022, avec le titre suivant : Pierre Gatier, côté Oise