Des églises du XIIe siècle pillées ; des vrais faux tableaux prêts à embarquer pour les États-Unis ; des Libanais qui disparaissent et Joachim Debbas, peintre mystique de renommée internationale, mort dans un attentat à Beyrouth, et dont le « golem » hante les rues de Paris tandis que ses dernières toiles sont exposées à la galerie Ayanhi. Voilà le décor du polar dans lequel évoluent Flora Régnaud, flic spécialiste en art à l’OCBC, et Vladi Burg, jeune peintre prometteur. De Montmartre à Giverny, en passant par Maisons-Alfort et ses écorchés de Fragonard, le lecteur est convié à démêler une intrigue plutôt bien ficelée. À condition d’être capable de regarder la mort en face.
Philippe Bouin, Natures mortes, Archipoche, 352 p., 6,50 €.
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Philippe Bouin : Natures mortes
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°604 du 1 juillet 2008, avec le titre suivant : Philippe Bouin : Natures mortes