Livre

Pensées universelles

Par James Benoit · L'ŒIL

Le 26 juin 2017 - 107 mots

Pensées dessinées -  Deux carnets dessinés, égaux en force et en droit, cohabitent dans ce curieux coffret.

Toujours réjouissant, séduisant de tendresse humaine souvent, Philippe Katerine y aborde par la face sud rien de moins que deux des plus importants massifs à gravir tout au long d’une vie : l’absence de l’amour, la présence de la mort. La fleur au fusil, philosophe, drôle, léger, grinçant, ce qu’il sait de la mort, ce qu’il sait de l’amour rappelle combien il est important dans le temps imparti de n’être à chaque instant jamais plus pesant qu’une plume dans le vent. L’ensemble trace un recueil de pensées très personnel, donc universel.

Philippe Katerine,
Ce que je sais de la mort, ce que je sais de l’amour, Hélium, 208 p., 18 €.

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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°703 du 1 juillet 2017, avec le titre suivant : Pensées universelles

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