Le naturalisme a produit le meilleur (Jules Bastien-Lepage, Alfred Roll) comme le pire. On serait tenté a priori de ranger dans cette seconde catégorie Henry Jules Jean Geoffroy dit « Géo » (1853-1924), qui a consacré son existence à peindre consciencieusement des écoliers.
Pourtant, servi par un « faire » honnête et une touche qui s’éloigne du léché académique, son œuvre possède une incontestable valeur documentaire qui ne sombre pas dans le misérabilisme d’un Fernand Pelez. La IIIe République naissante lui a d’ailleurs commandé des grands formats respectables.
« Henry Jules Jean Geoffroy, dit « Géo » », Maryse Aleksandrowski, Alain Mathieu, Dominique Lobstein, éd. Librairie des Musées, 2012, 265 p., 39 €.
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Peintre des écoliers
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°383 du 18 janvier 2013, avec le titre suivant : Peintre des écoliers