À 91 ans, Julio Le Parc bénéficie du retour en grâce de l’art cinétique dans les institutions.
Cinq ans après la ré-trospective de ses œuvres au Palais de Tokyo, l’artiste argentin s’est vu couronner en 2019 par une série d’expositions en France et à Buenos Aires, et même par une Légion d’honneur remise le mois dernier. À ces célébrations, s’ajoute en toute logique la publication en novembre d’une monographie par les éditions Canoë et Exils. Élégant et soigné, l’ouvrage s’annonce comme le plus riche et le plus complet jamais publié sur l’artiste. D’abord parce qu’il agrège selon une progression à la fois thématique et chronologique un très vaste corpus photographique, depuis les premières études de Julio Le Parc, inspirées par Picasso, jusqu’à ses torsions monumentales en acier et ses alchimies. Ensuite parce que les textes, signés Jean de Loisy, Serge Lemoine et l’artiste lui-même – ses écrits et pamphlets sont réunis à la fin de l’ouvrage –, offrent un appareil critique précieux pour entrer dans son œuvre et en mesurer la portée.
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Monographie Julio Le Parc
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°729 du 1 décembre 2019, avec le titre suivant : Julio Le Parc