Traduit dix ans après sa publication en Allemagne, l’essai de Mechthild Fend, spécialiste de la culture visuelle des XVIIIe et XIXe siècles, interroge la figure de l’androgyne dans l’art néoclassique français. À travers l’étude de tableaux de David, Girodet ou Guérin, l’auteur montre les limites ténues entre masculinité et féminité à une époque où l’éphèbe antique était vu comme l’idéal masculin.
Mechthild Fend, Les Limites de la masculinité, éd. La Découverte, 312 p., 25 €, ISBN 978-2-7071-6964-8.
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Mechthild Fend - « Les Limites de la masculinité »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°355 du 21 octobre 2011, avec le titre suivant : Mechthild Fend - « Les Limites de la masculinité »