Avec la régularité d’un horloger, Stéphane Lambert publie chaque année un ouvrage sur un artiste, avec une prédilection pour les créateurs au destin cabossé.
Inévitablement, sa trajectoire ne pouvait que rencontrer celle de Van Gogh. Et faire des étincelles. Car, comme souvent, c’est brillamment écrit, avec finesse et juste ce qu’il faut de style pour être enlevé sans céder à l’emphase facile. Le tout en une centaine de pages, ce qui en fait le format idéal pour une première découverte de l’artiste.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
L’Éternel sous l’éphémère
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°768 du 1 octobre 2023, avec le titre suivant : L’Éternel sous l’éphémère