Roman 1508. Aurelio, paysan divinement beau, quitte Forlì avec le fol espoir de travailler à Rome pour le plus grand artiste de son temps : Michel-Ange.
Lorsqu’il rencontre le maître, ce dernier vient de se voir confier par le pape Jules II la décoration de la chapelle Sixtine. Un chantier dont l’artiste ne veut pas, mais qui va finalement l’obséder et devenir un défi pour affirmer sa supériorité sur ses pairs. C’est dans ce climat de rivalité et sur l’un des plus prestigieux échafaudages de l’histoire de l’art que nous plonge ce roman. Si certaines intrigues sont secondaires, le cœur du roman est captivant. L’auteur restitue avec brio les étapes et les aléas de ce projet titanesque, tout en recréant l’atmosphère d’une Rome décadente en pleine transformation.
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L’échafaudage de la Sixtine
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Abonnez-vous dès 1 €Leon Morell, Le Ciel de la chapelle Sixtine, HC Éditions, 512 p., 22 €.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°670 du 1 juillet 2014, avec le titre suivant : L’échafaudage de la Sixtine