PARIS
Dénoncer le fanatisme religieux, la superstition, les vices de son époque, telle est la visée de Goya lorsqu’il entreprend la série de gravures des Caprices, initialement intitulée Sueños (« songes »).
Aurore Guitry imagine la maladie de Goya qui a précédé cette œuvre qui tranche avec sa production antérieure : une crise de saturnisme, qui transporte le peintre enfiévré dans un village perdu de l’Aragon. Emporté, le lecteur suit la descente aux enfers de l’artiste, peuplée des danses endiablées, des vieilles et des démons qui viendront dès lors hanter ses œuvres.
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Le Songe de Goya
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°721 du 1 mars 2019, avec le titre suivant : Le Songe de Goya