Plus qu’un hommage à l’âge d’or français d’une époque bâtisseuse de cathédrales, cet ouvrage fait preuve d’une foi inépuisable dans l’avenir.
Le Corbusier arrive en Amérique en 1935. Séduit par la « ville debout » en devenir, il loue la « carrure formidable » et le « souffle animateur puissant » de ce « temple du Nouveau Monde ». Rien n’est pourtant assez grand pour l’architecte qui lança un jour à la face de son interlocuteur : « Les gratte-ciel sont trop petits. »
« Le Corbusier, Quand les cathédrales étaient blanches : Voyage au pays des timides », éd. Bartillat, 2012, 288 p. 23 €.
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Le Corbusier en Amérique
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°383 du 18 janvier 2013, avec le titre suivant : Le Corbusier en Amérique