L’artiste a recensé tous ses projets, en reprenant des couvertures d’ouvrages de la célèbre collection « Série noire » de Gallimard.
Chaque titre évoque l’une des 61 œuvres, assorties d’une notice explicative. Exemple : La Voix au téléphone, de Mildred Davis illustre la cabine téléphonique du pont Garigliano (2006-2012) qu’elle avait imaginée afin de discuter avec un inconnu (expérience au succès relatif). Une forme de catalogue raisonné très approprié à la démarche artistique de Sophie Calle, laquelle consiste à documenter une idée un peu fantasque : suivre des inconnus, se faire employer comme femme de chambre dans un hôtel, faire appel à un détective privé…
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Le catalogue noir de Sophie Calle
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°776 du 1 juin 2024, avec le titre suivant : Le catalogue noir de Sophie Calle