PARIS
Si le bijou exerce une telle fascination sur les hommes, c’est qu’il est depuis toujours symbole de pouvoir et de richesse.
Le Metropolitan Museum possède une belle collection de bijoux, allant des premières périodes historiques à l’époque moderne. Citadelles & Mazenod publie le catalogue de l’exposition en cours à New York sur le thème du « corps sublimé » . Les auteurs y apportent les réponses à des questions diverses, telles « Qu’est-ce qu’un bijou ? », « Comment se porte-t-il ? » et « Quelle est sa fonction ? ». Toutefois, la période contemporaine voit le bijou désormais non plus seulement comme un signe extérieur de richesse, mais plutôt comme un atour esthétique. La collection constituée par Solange Thierry de Saint-Rapt, ancienne rédactrice en chef de L’Œil,établit un panorama assez exhaustif des talents actuels. Et le catalogue de l’exposition qui leur était consacrée à Bruxelles à l’automne dernier en a fait la remarquable synthèse. Dans ses pages, il n’est plus question de matériaux précieux, mais de techniques et formes audacieuses réalisées à partir de ficelles, de caoutchouc, d’éléments de récupération, de plastique, de corian, de verre, de titane, de papier, etc. Ces deux ouvrages se complètent habilement et permettent d’établir un riche panorama de l’art de la parure.
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Le Bijou au pluriel
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°718 du 1 décembre 2018, avec le titre suivant : Le Bijou au pluriel