Écrivain et chroniqueur scientifique, Philip Ball raconte l’histoire des couleurs à travers les âges, de l’Égypte ancienne aux teintes préférées de Titien, Rembrandt, Vermeer et Monet, du précieux lapis-lazuli cher aux artistes au Moyen Âge au IKB de Klein, des nouveaux pigments ocre, brun et argent de la fin du XVIe siècle à l’apparition des tubes de peinture au milieu du XIXe… L’ouvrage s’achève avec une réflexion sur le vieillissement des matériaux et la relative exactitude des couleurs que nous percevons sur les tableaux des maîtres par rapport à leur état d’origine. Une manière originale d’aborder 5 000 ans d’histoire de l’art.
Philip Ball, Histoire vivante des couleurs, éd. Hazan, 2005, 400 p., 29 euros, ISBN 2-85025-981-0.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
L’art haut en couleurs
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°219 du 8 juillet 2005, avec le titre suivant : L’art haut en couleurs