« Pourquoi la tragédie suscite-t-elle un respect auquel ne saurait prétendre la comédie ? » , interroge l’auteur, qui illustre son propos par une sélection de textes de la Bible et d’auteurs anciens ou modernes, de Pline le Jeune à Edgar Poe, de Saint Augustin à Voltaire.
Les peintures d’apocalypse de John Martin (1789-1854), plus audacieuses dans leur composition que dans leur exécution, accompagnent cette anthologie.
Jorge Luis Borges, Fini Mundi, éditions Franco Maria Ricci, 39 ill., 200 p., 1500 F. ISBN 88-216-2045-X.
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La fin du monde
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°64 du 8 juillet 1998, avec le titre suivant : La fin du monde