MONOGRAPHIE - Pierre Restany disait de lui en 1999 qu’il avait su « se plier à ce rythme fondamental de la vie », y voyant « le signe d’un talent précoce ».
Du talent, Philippe Pasqua (né en 1965) en avait assurément. Ses « Vaudous » de la fin des années 1990 frôlent l’excellence. Puis, le sujet a pris le dessus sur la peinture (la transformation d’un transexuel), et le peintre sur le sujet (les voitures de sport). Et la générosité du départ de se muer en mégalomanie. Désormais, le peintre agace. Cette belle monographie signée José Alvarez (auteur et éditeur) lui rend tout de même grâce, au peintre et à son talent que d’aucuns disent gâché.
José Alvarez, Philippe Pasqua, 340 p., 300 ill., 69 €.
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José Alvarez, « Philippe Pasqua »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°654 du 1 février 2013, avec le titre suivant : José Alvarez, « Philippe Pasqua »