Jean-François Chevrier et John Coplans ont été très liés. La rencontre pour l’historien et critique d’art avec l’œuvre du second remonte à 1984, suivie par de longues discussions jusqu’à la disparition de l’artiste en 2003.
À la faveur de l’exposition « John Coplans. La vie des formes », coproduite par la Fondation Henri Cartier-Bresson et Le Point du jour, Jean-François Chevrier parcourt les décisions artistiques d’un homme qui, à 58 ans, alors qu’il dirige l’Akron Art Museum aux États-Unis, commence à réaliser les photographies de son propre corps qui le rendront célèbre. Ces autoportraits, « point d’arrivée » de divers antécédents artistiques, sont éclairés à la lumière d’un itinéraire peu banal entamé à Londres. L’anthologie de textes de John Coplans, la chronologie et le cahier central d’œuvres et de documents divers qui suivent, font de cette biographie un ouvrage de référence pour appréhender au mieux un homme et une œuvre dont on ne connaît en général qu’un pan en France.
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John Coplans
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°751 du 1 février 2022, avec le titre suivant : John Coplans