LITTÉRATURE. « Afin d’avoir une idée de ce monument, on ne saurait mieux faire que se figurer […] un empilement d’arènes dont la dernière, la plus petite, serait encore plus vaste que le Colisée de Rome. » Seàmus Penman ne cache pas sa surprise devant ce bâtiment qui s’élève « de toute éternité » au-delà des nuages. Curieux, l’aventurier part à la découverte de cette tour sans nom, décrivant au fur et à mesure de sa montée – et de sa déchéance – ses peuples, leurs langues et leurs écritures. Dans ce récit écrit de belle langue, l’auteur archéologue nous conduit dans le Babel de Bruegel. On s’y croirait.
Jean-Marie Blas de Roblès, Les Greniers de Babel, Éditions Invenit, coll. « Ekphrasis », 48 p., 12 euros.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Jean-Marie Blas de Roblès - Les Greniers de Babel
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°656 du 1 avril 2013, avec le titre suivant : Jean-Marie Blas de Roblès - Les Greniers de Babel