Y aurait-il un art décoratif plus persuasif et persistant que celui qui vit le jour à Vienne au tournant du siècle ?
Autour de la Sécession et de la Wiener Werkstätte gravite une impressionnante quantité de peintres, d’architectes et de "designers", qui transforment la ville en une sorte de laboratoire et élaborent une œuvre collective. L’art et la vie se voient réunis par un coup de force sans précédent, et pas un aspect de la vie collective ou privée n’échappe au volontarisme génial de Josef Hoffmann, qui est le héros pragmatique de cette révolution. L’ouvrage de Gabriele Fahr-Becker lui réserve naturellement une place primordiale et décrit le rôle essentiel des innombrables artisans, précis et convaincus, qui donnèrent matière à ces créations.
Gabriele Fahr-Becker, L’Atelier viennois, Éditions Taschen, 246 p., 210 F.
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Gabriele Fahr-Becker, L’Atelier viennois
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°23 du 1 mars 1996, avec le titre suivant : Gabriele Fahr-Becker, <em>L’Atelier viennois</em>