BEAU LIVRE. Un système hydraulique, un cerf-volant, la luminosité de la Lune, une carte géographique, des cerises : les codex de Vinci révèlent les vastes recherches d’un homme de la Renaissance, qui se présentait plus souvent comme ingénieur que peintre.
Indissociables de l’œuvre picturale surexposée de Léonard, ses manuscrits sont trop rarement abordés et recèlent pourtant des chefs-d’œuvre d’imagination, d’esquisses et de science.
« Que soient pardonnés ceux qui vivent grâce aux ignorants. » Par cette cinglante citation, les auteurs balaient les théories fantaisistes autour des carnets de Vinci et se concentrent sur leur histoire et leur contenu réel. Les douze manuscrits de l’Institut de France, le Codex Atlanticus, le codex sur le vol des oiseaux, le Traité de la peinture, etc. font chacun l’objet d’une présentation. Quarante-quatre feuillets sont reproduits en pleine page, accompagnés d’une courte description. Des croquis précis et minutieux, encadrés de la fascinante écriture de droite à gauche du maître italien : Carnets de Léonard de Vinci suscite cette envie d’en voir et d’en savoir plus.
Eyrolles, 127 p., 35 €.
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Edoardo Villata et Margherita Romagnoli, « Carnets de Léonard de Vinci. Les codex dévoilés »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°645 du 1 avril 2012, avec le titre suivant : Edoardo Villata et Margherita Romagnoli, « Carnets de Léonard de Vinci. Les codex dévoilés »