Les éditions du Regard continuent d’enrichir leur catalogue avec les grands noms de l’architecture et des arts décoratifs du XXe siècle.
Georges Bourgeois (1898-1937), dit Djo-Bourgeois, est loin d’être le nom le plus connu de la catégorie, mais sa proximité avec l’Union des artistes modernes (UAM), sa participation aux salons de 1928 et 1929 avec Herbst, Perriand et Jourdain, comme sa collaboration au mobilier pour la Villa Noailles de Mallet-Stevens, en font l’un des architectes et décorateurs d’intérieur les plus engagés dans le mouvement moderne. Derrière son élégante couverture typographique, la monographie qui paraît aujourd’hui – la première à lui être entièrement consacrée par l’une des autrices fétiches de l’éditeur, Anne Bony – lui rend parfaitement justice. Son épouse Élise Djo-Bourgeois, créatrice de tissus d’avant-garde avec laquelle Djo-Bourgeois a travaillé, n’est évidemment pas oubliée. Richement illustré par des dessins et des photographies d’époque, ce bel ouvrage nous transporte en un temps où la modernité s’écrivait en majuscules.
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Djo-Bourgeois
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°739 du 1 décembre 2020, avec le titre suivant : Djo-Bourgeois