Prenant appui sur Les Raboteurs de parquet de Caillebotte (1875), Dominique Auzel fait le récit du moment décisif d’un peintre qui, en captant un sujet « vulgaire », se tourne résolument vers la modernité.
Une manière intimiste de préparer la visite de l’exposition du Musée d’Orsay [jusqu’au 9 janvier 2025]. Dans la même collection, déjà riche de plus d’une trentaine de titres, paraissent également deux ouvrages, consacrés à Berthe Morisot (La Féerie quotidienne) et Georges de La Tour (À l’ombre de la peste et de la guerre).
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Dans le secret de Caillebotte
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°780 du 1 novembre 2024, avec le titre suivant : Dans le secret de Caillebotte