À la question qui lui était récemment posée, au cours d’une émission sur Monet sur France Culture, sur la place de Jongkind dans la paternité de l’impressionnisme, Pascal Bonafoux répondait qu’il faudrait également reconsidérer la peinture de Corot… Reconsidérer Corot, c’est la proposition de la collection « Découvertes Gallimard », qui réédite sous une nouvelle couverture son titre consacré au peintre, parue pour la première fois en 1996.
Dans la mise en page peu élégante caractéristique de la collection, qui ne sert pas toujours les nombreuses reproductions, le texte du conservateur Vincent Pomarède et de l’historien de l’art Gérard de Wallens, spécialistes du peintre, n’a toutefois rien perdu de sa fraîcheur ni de sa pédagogie. Retraçant la chronologie de la vie et du parcours du peintre, le texte aborde la peinture de paysage, bien sûr, les lieux qui ont inspiré l’artiste, mais aussi la peinture religieuse, le dessin et le portrait moins considéré – à tort – dans la production du peintre.
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Corot, la mémoire du paysage
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Corot, la mémoire du paysage