PARIS
Quatre textes, deux d’auteurs français (Éric Suchère et Pierre Wat, contributeur de L’Œil), et deux d’auteurs américains (Joe Fyfe et Raphaël Rubinstein), articulent une pensée sur l’expérience de la peinture et le processus de création du peintre angoumoisin.
L’ouvrage porte sur les travaux récents de Claude Tétot, avec leurs fonds blancs, que Fyfe décrit comme une manière très française de travailler, comparant les toiles aux travaux d’artistes tels que Bernard Piffaretti et aux écrits modernistes de Mallarmé. C’est aussi le travail mental, d’observation, qui est mis en avant dans l’ouvrage, tellement important dans l’œuvre de Tétot, qui « fabrique mentalement (ses toiles), par un travail de visualisation, sans les toucher, en restant comme ça, dans (son) fauteuil ».
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Claude Tétot
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°719 du 1 janvier 2019, avec le titre suivant : Claude Tétot