Monographie. « Il y a un paradoxe Chagall », écrit notre collaborateur Itzhak Goldberg dans la belle monographie qu’il lui consacre : il plaît au grand public, mais pas aux critiques d’art.
Parmi les nombreuses raisons qui expliquent ce paradoxe, l’auteur met en avant une peinture trop séductrice, qu’il invite les lecteurs à mieux regarder. On a plutôt envie de lire sa narration, fidèle à ses qualités habituelles d’écriture : précision, densité d’information, nombreuses sources soigneusement citées comme il se doit pour un professeur d’histoire de l’art. À défaut d’apprécier la peinture colorée, naïve et onirique de Marc Chagall, on la comprend mieux grâce au récit d’Itzhak Goldberg. Et l’on pardonne les accents empathiques qui trouvent leur raison d’être dans les nombreux points communs entre l’auteur et l’artiste.
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Chagall dans le texte (et dans l’image)
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°536 du 3 janvier 2020, avec le titre suivant : Chagall dans le texte (et dans l’image)