Bruno Foucart est tout simplement l’inventeur du XIXe siècle.
Un XIXe qui accorde autant d’importance à Delacroix et Manet qu’aux « pompiers » et se libère de la perspective moderniste. Professeur, commissaire d’exposition, membre de cabinets ministériels, journaliste, il est une figure incontournable de cette société complexe d’historiens de l’art.
Dandy, parfois provocateur, avec une pointe « d’aquabonisme », comme l’écrit à son propos Marc Fumaroli, il s’intéresse tout autant à l’art sacré du XIXe, à l’architecture historicisante, aux arts décoratifs du XXe et bien sûr à « l’ex-mauvais » XIXe. Le mélange que lui ont concocté ses amis, augmenté d’une sélection de ses écrits, est un trésor. Une plongée dans le parcours et la pensée d’un homme d’exception.
Essais et mélanges en l’honneur de Bruno Foucart, éditions Norma, deux volumes sous coffret, 1 370 p., 80 euros
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Bruno Foucart : Essais et mélanges en l’honneur
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°603 du 1 juin 2008, avec le titre suivant : Bruno Foucart : Essais et mélanges en l’honneur