Un cambriolage digne d’Arsène Lupin ! C’est l’image qui surgit quand on songe au cambriolage du Musée d’art moderne de la Ville de Paris, il y a tout juste dix ans.
Cinq toiles de maître y avaient été dérobées, qui n’ont jamais été retrouvées. Mais voilà qu’un jeune homme, Paul Mazar, découvre deux d’entre elles (La Pastorale de Matisse et Olivier à l’Estaque de Braque) dans une poubelle parisienne. C’est le point de départ du roman aussi sensible que palpitant de l’historien de l’art Romain Arazm. Les méandres des phrases s’apparentent à ceux des rues et des routes, et l’on se retrouve entraîné sur les pas du héros dans Paris, comme on voyage en Bretagne, en Provence et jusqu’en Italie. Mais qu’on ne s’y trompe pas : la quête de ce narrateur épris d’art est avant tout intérieure, et il nous faudra aussi plonger en nous-même...
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Avis de recherche
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°737 du 1 octobre 2020, avec le titre suivant : Avis de recherche