Livre photo. Larry Clark et Nan Goldin ont été ses maîtres.
Personne n’en doutera à la vue de son travail qu’il a intitulé Agonie. Antoine d’Agata, sans nul doute l’un des photographes les plus intéressants de sa génération – il est né en 1961 –, s’y met en scène expérimentant le sexe et la drogue, Éros et Thanatos. Dans ses images floues, on n’y voit rien tout en voyant tout. Le résultat est un peu à la manière d’un tableau de Bacon : un hurlement. Un cri, mais d’agonie. De ce livre on ne ressort pas indemne. À la vie, à la photographie.
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Antoine d’Agata, Agonie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°625 du 1 juin 2010, avec le titre suivant : Antoine d’Agata, <i>Agonie</i>