Doit-on ou non représenter le divin ? Entre 728 et 843, cette question a divisé les Byzantins, poussant certains empereurs à interdire les images saintes et persécuter leurs défenseurs.
Pour mieux comprendre cette crise iconoclaste, l’historien de l’art André Grabar a réuni, en 1957, de nombreux documents, textes et œuvres d’art, témoins des représentations religieuses de l’époque. Véritable enquête archéologique, cette réédition de son travail permet de comprendre le rapport complexe qu’entretenaient les Byzantins avec les images.
André Grabar, L’Iconoclasme byzantin, éd. Flammarion, coll. « Champs arts », 1984, rééd. 2011, 657 p., 15 €, ISBN 978-2-0812-5672-9
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André Grabar, « L’Iconoclasme byzantin »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°358 du 2 décembre 2011, avec le titre suivant : André Grabar, « L’Iconoclasme byzantin »