De Jheronimus Van Aken, plus connu sous le nom de Jérôme Bosch (1450-1516), on sait peu de chose.
Il semble avoir mené une sage existence, aux Pays-Bas actuels, entre sa femme, fille d’aristocrate, et la confrérie qui lui assure de nombreuses commandes. Une tranquillité qui contraste singulièrement avec l’étrangeté hallucinée qui anime ses tableaux. L’auteur imagine un peintre travaillé par des cauchemars nocturnes, marqué dans sa jeunesse par une mère bigote, et d’une grande rigueur morale. Un être asocial, tout entier investi dans son travail. Alexandra Strauss, qui n’est pas historienne de l’art et cela se sent, s’intéresse essentiellement à la psychologie du peintre, qu’elle extrapole à partir de ses tableaux. En second choix.
Alexandra Strauss, Les Démons de Jérôme Bosch, Éditions Télémaque, 208 p., 20 €.
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Alexandra Strauss : "Les Démons de Jérôme Bosch"
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°615 du 1 juillet 2009, avec le titre suivant : Alexandra Strauss : "Les Démons de Jérôme Bosch"