Albert Londres (1884-1932) ne fut pas qu’un grand journaliste et écrivain célèbre. Il fut aussi un photographe, qui a associé les images aux mots dès ses premiers reportages sur la violence de la Première Guerre mondiale.
En effet, la photographie apporte des preuves, participe à la narration, à la dénonciation, que ce soit dans la toute jeune Union Soviétique, au bagne de Cayenne, en Afrique ou dans la péninsule arabique. Hervé Brusini, ancien grand reporter de France Télévision et président du Prix Albert-Londres, revient chronologiquement sur ces reportages, à la faveur de la résurgence de photographies ignorées ou oubliées. Les différents portraits d’Albert Londres, à chaque période de sa vie, donnent un visage à celui dont le nom plus que les écrits, sont associés aujourd’hui au prix décerné chaque année à un ou une journaliste pour son travail sur le terrain. La recontextualisation de son itinéraire dans la presse s’accompagne par ailleurs d’un intéressant éclairage sur les journaux pour lesquels il travailla.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Albert Londres, témoin du monde
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°773 du 1 mars 2024, avec le titre suivant : Albert Londres, témoin du monde