Londres. Tribal Art London, la foire londonienne d’art tribal, revient pour une onzième édition, quelques jours avant le Parcours des mondes qui se tient à Paris du 11 au 16 septembre.
Les organisateurs et les exposants du Parcours espèrent que les clients internationaux qui se rendent en France fassent étape à Londres. Unique événement spécialisé dans ce domaine au Royaume-Uni, Tribal Art London tente de redonner du tonus à un marché jadis très actif mais qui a souffert de la domination de Sotheby’s et Christie’s dans les années 1980. Regroupant 21 exposants issus du Royaume-Uni, des Pays-Bas, d’Afrique, de Belgique et des États-Unis, il ne compte en revanche aucun participant français dans ses rangs. « J’approuve le salon et le soutiens de loin, mais il est trop près du Parcours pour pouvoir y aller, même en tant que visiteur », explique le marchand parisien Anthony Meyer. Deux nouveaux exposants rejoignent la manifestation : Clive Rogers (Londres) et Sisi Tatu (Sint-Amandsberg, Belgique). Ils rejoignent des habitués tels que Ken MacKay (Londres), qui met l’accent sur l’art amérindien, Jeremy Sabine (Afrique du Sud), spécialisé dans les objets d’art sud-africains, ou Raccanello Tribal Art (Londres) pour l’art polynésien.
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Tribal Art London, 11e !
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°505 du 6 juillet 2018, avec le titre suivant : Tribal Art London, 11e !