Galerie Didier Aaron %26 Cie
Comment se porte la peinture du XVIIIe siècle ?
Le XVIIIe français tient très bien la route cette année et dame encore le pion au xixe, ex-refuge de tous les galeristes… La tendance par rapport au XIXe siècle ne se manifeste pas vraiment en terme de prix, mais clairement en quantité de demandes.
Pourtant, les petits noms ne semblent pas avoir la cote…
Quand je parle du XVIIIe, je parle uniquement de choses de qualité, et avec des noms, le « petit » XVIIIe n’intéresse absolument plus personne. Les gens veulent des noms. Pour ces grands noms, les clients russes ou chinois (ces derniers achètent encore peu mais commencent à s’intéresser, ce qui est très nouveau pour nous), mais aussi européens et américains sont là. Nous avons toujours des demandes pour les deux noms qui font rêver, Fragonard et Boucher, mais les clients ne veulent rien qui soit passé en vente publique récemment. Dès qu’ils peuvent retrouver les prix sur Artnet ou Artprice, c’est invendable.
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Questions à… Laure Pouzol-Demarest
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°627 du 1 septembre 2010, avec le titre suivant : Questions à… Laure Pouzol-Demarest