J’ai vu ces pans de Mur en Nouvelle-Écosse, au Canada. C’est un objet interpellant et émouvant. Le plus compliqué, au final, ce n’est pas de les trouver ou de les acheter, mais de les manipuler, car ils nécessitent un transport spécialisé, dont nous nous chargerons pour le ou les futurs acquéreurs.
À l’origine, l’ex-République démocratique allemande (RDA) avait le contrôle sur le démantèlement, et ils n’ont pas fait dans la dentelle : beaucoup ont été abîmés. Ils ne cherchaient pas, à l’époque, à en faire des objets de collection.
Le but reste de se réapproprier ces éléments « historiques » en les « positivant » à travers la vente, pour en faire profiter différentes causes humanitaires, bien loin de l’esprit d’origine des murs. Dans cet esprit, c’est la communication autour des murs et le résultat effectif qui seront les plus importants. Certains seront probablement exposés dans un endroit public, d’autres préféreront l’intimité d’un parc ou d’un jardin. De toute manière, notre but sera atteint.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Questions à… Harold t’Kint de Roodenbeke
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°730 du 1 janvier 2020, avec le titre suivant : Questions à… Harold t’Kint de Roodenbeke