Effectivement, bien que cela dépende du type de peinture. Aujourd’hui, il y a un courant figuratif et, au sein de ce courant, une peinture d’image très « instagrammable » qui peut plaire à un large public, car elle est esthétiquement très accessible. Dans certains cas, on peut même parler de « produit », car ces tableaux sont marketés comme tels.
Non, celui-ci n’est jamais rationnel. Prenons l’exemple de l’un des peintres que nous représentons, Julien des Monstiers. En juin 2022, son exposition à la galerie avait manqué son public, beaucoup de gens regrettant alors qu’il ne peigne pas assez de petits formats « domestiques ». Cependant, quatre mois plus tard, le fait de présenter un de ses tableaux à Paris+ a permis de vendre quasiment toute sa production récente, alors même qu’il s’agissait de pièces de grande dimension !
Oui, notamment si cela entre en résonance avec une actualité forte de l’artiste. Cette année, nous accordons une place conséquente à un jeune peintre-sculpteur : Pablo Tomek, présenté parmi une sélection resserrée de quatre artistes. En parallèle, nous proposerons à la galerie sa troisième exposition personnelle. On verra également ses œuvres dans une exposition de groupe au Palais de Tokyo et à la Galerie kreo. Paris+ sera donc un moment clé pour mettre en lumière son travail.
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Questions à… Guillaume Lointier
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°768 du 1 octobre 2023, avec le titre suivant : Questions à… Guillaume Lointier