Pour accompagner la sortie au cinéma, en salle le 8 juin, du documentaire L’Artiste à la phalange coupée de Virgile Novarina consacré à l’iconoclaste Pierre Pinoncelli (1929-2021) – celui-ci s’était tranché un doigt en 2002 en soutien à Íngrid Betancourt, détenue alors par les Farc dans la jungle amazonienne –, Hervé Courtaigne organise une présentation rétrospective de ce plasticien provocateur, bien connu pour ses actes subversifs (par exemple, avoir ébréché en 2006 un urinoir de Duchamp à Beaubourg), en montrant l’amplitude de sa démarche plastique courant sur plusieurs décennies et animée, ad nauseam, par l’esprit dada irrespectueux.
Cela va de ses premières huiles sur toile expressives des années 1960 jusqu’à sa période pop plus tardive via ses dessins à l’encre et un multiple en 100 exemplaires du ready-made Fontaine, réalisé en 1993. Prix oscillant entre 800 et 18 000 euros.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Pierre Pinoncelli - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°755 du 1 juin 2022, avec le titre suivant : Pierre Pinoncelli - En galerie