Fait assez assez rare pour être remarqué, c’est une réunion de galeries qui est à l’initiative du nouvel événement Paris Internationale, parmi lesquelles les parisiennes Sultana ou Crèvecoeur, aux côtés de la zurichoise Gregor Staiger.
« Le projet est venu de galeries qui se connaissent très bien et qui voulaient une foire avec un parcours intime, dans un format proche du group show », explique le galeriste Guillaume Sultana. À ces fondateurs se sont ajoutés plusieurs Parisiens (Emmanuel Hervé, Praz Delavallade…) et une quinzaine d’exposants issus de quatorze pays différents (Proyectos Monclova de Mexico City ou Bianca D’Alessandro de Copenhague) qui ont pu participer aux foires Independent ou Liste mais n’ont souvent jamais exposé en France. « Nous pensions être huit et nous sommes finalement quarante ! », s’amuse Guillaume Sultana. La foire, axée sur l’art contemporain émergent, se veut un lieu d’échange et de dialogue, dans un format moins figé que les foires traditionnelles. Le lieu se prête à l’exercice : les exposants s’installent dans un double hôtel particulier haussmannien, délaissé et inoccupé. Une série d’événements ponctue les quatre jours de la foire, notamment des conférences organisées par le magazine autrichien Spike ou une soirée festive de performances sous la houlette du commissaire d’exposition Vincent Honoré.
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Paris Internationale dialogue autour de l’art
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°684 du 1 novembre 2015, avec le titre suivant : Paris Internationale dialogue autour de l’art