Lors de son séjour en France en 2013, l’artiste japonaise avait été marquée par sa découverte des grottes ornées.
Le bestiaire et les signes rupestres hantent les 27 dessins actuellement présentés à Paris. Dans la gouache posée en rehaut de la série des
Fantômes,
l’artiste née en 1977 a incisé des formes de bois de cerfs et d’aurochs. Sur d’autres feuilles recouvertes de coups de crayon, la gomme vient au contraire suggérer l’ombre lumineuse d’une bête. Compter de 1 000 euros, pour les formats A4, à 29 000 euros, pour un grand triptyque, pour un travail d’une infinie justesse.
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Naoko Sekine - En galerie
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« Naoko Sekin, Ligne, couleur, image »,
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Naoko Sekine - En galerie