La jeune peintre Louise Sartor (née en 1988 à Paris) aime citer Ingres : « Il ne faut pas rechercher outre mesure les sujets : un peintre peut faire de l’or avec quatre sous. »
Aussi, pas étonnant qu’au sein des deux espaces d’exposition consacrés à son deuxième solo show, l’on retrouve une vingtaine de gouaches récentes ainsi qu’une série de dessins à la pointe d’argent, dévoilant des sujets anodins, tels fleurs en décomposition, masques chirurgicaux, visage d’une jeune femme illuminée par son écran d’ordinateur ou cotillons d’une célébration de mariage, ces petits riens cherchant, via notamment le recours à des supports inhabituels (lampes), à attester du pouvoir intact des images. Fourchette de prix entre 1 200 et 10 000 euros.
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Louise Sartor - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°752 du 1 mars 2022, avec le titre suivant : Louise Sartor - En galerie