C’est la première exposition à Paris de ce jeune artiste (né en 1992), dont on a pu voir les installations à la 16e Biennale d’art contemporain de Lyon en 2022, ainsi que dans le parcours d’Un été au Havre en 2023 – c’est d’ailleurs Gaël Charbau, directeur artistique de cette manifestation havraise qui assure le commissariat de l’exposition.
Le titre « Les poèmes cachent les théorèmes » emprunté au philosophe Gaston Bachelard, évoque la complémentarité de la poésie et de la science. Chez Léo Fourdrinier, cette interdépendance prend la forme de sculptures associant à la façon de rébus spectaculaires des néons avec des motos, des fleurs synthétiques et des moulages antiques.
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Léo Fourdrinier - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°779 du 1 octobre 2024, avec le titre suivant : Léo Fourdrinier - En galerie