BRUXELLES / BELGIQUE
Mixant plus d’une vingtaine de spécialités, la foire d’art et d’antiquités belge continue de jouer la carte de la variété, une recette toujours gagnante.
Première foire de l’année, la Brafa (Brussels Art Fair) profite d’un moment calme dans le calendrier très chargé des manifestations d’art et d’antiquités, pour ouvrir ses portes du 26 janvier au 2 février sur le site de Tour & Taxi. Pour sa 65e édition, l’événement rassemble 133 galeries spécialisées en archéologie, mobilier ancien, art moderne, contemporain, tribal ou asiatique, sans oublier la peinture, la sculpture et la BD. Dix-huit enseignes intègrent la manifestation, dont dix reviennent après une ou plusieurs années d’absence, comme la Galerie De Jonckheere. Parmi les nouveaux venus figurent la Galerie Paolo Antonacci (Rome), dévolue aux tableaux anciens, ou bien le marchand milanais Dalton Somaré, spécialisé dans les arts africain et hindo-bouddhiste anciens.
Pour l’occasion, les marchands ont réservé quelques-unes de leurs plus belles pièces à destination d’un public très collectionneur : la Galerie Eberwein (Paris) mise sur une Porteuse d’offrandes (Égypte, Moyen Empire, XIIe dynastie, 2000-1800 av. J.-C.) ; la Galerie Bruil & Brandsma Works of Art dévoile un Portrait du dauphin François (vers 1536) de Corneille de La Haye dit Corneille de Lyon ; Yann Ferrandin montre un hei-tiki (pendentif) maori en néphrite, probablement du XVIIIe siècle (Nouvelle-Zélande), tandis que la Galerie Stern-Pissarro basée à Londres expose Route enneigée avec maison, environs d’Éragny de Camille Pissarro (1885).
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La Brafa toujours aussi éclectique
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°731 du 1 février 2020, avec le titre suivant : La Brafa toujours aussi éclectique