Paris. Dominique Polad-Hardouin, décédée le 1er mars dernier à l’âge de 68 ans, n’a pas échappé complètement à l’influence de sa mère, la collectionneuse et critique Cérès Franco.
En 2001, elle quitte une carrière d’urbaniste pour animer une galerie à côté du Centre Pompidou durant quinze ans. Elle y expose Lydie Arickx, Stani Nitkowski ou Jean Rustin. En 2017, elle décide de se consacrer entièrement à la collection de sa mère après avoir trouvé un lieu pour la présenter, une ancienne coopérative vinicole dans l’Aude qu’elle transforme en centre d’art, la Coopérative-Collection Cérès Franco, inaugurée en 2015.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Disparition de l’ex-galeriste Dominique Polad-Hardouin
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°541 du 13 mars 2020, avec le titre suivant : Disparition de l’ex-galeriste Dominique Polad-Hardouin