VANCOUVER (CANADA) [08.07.08] - Vol d’œuvres en métal dans les musées : les compagnies d’assurance sont mises en cause, en payant les rançons, elles entretiendraient un phénomène croissant.
Depuis le début des années 2000, les cambriolages dans les musées et vols d’œuvres d’art public se sont multipliés au Canada simultanément au trafic de métaux. La crainte que les œuvres volées puissent être fondues a engendré une nouvelle pratique : l’offre et le paiement d’une rançon. Les compagnies d’assurance des musées et municipalités assurant cette forme de rétribution favoriseraient ainsi le trafic.
Dans l’enquête relative au cambriolage du musée de Vancouver, plusieurs suspects auraient été payés pour livrer des informations et restituer les pièces en or de l’artiste Bill Reid, estimées à plus de 2 millions de dollars. Le vol avait révélé des défaillances en terme de sécurité et surveillance et l’exemple s’était répété quelques semaines plus tard avec la disparition d’une statue exposée dans le Queen Elizabeth Park de Vancouver. (Sources: Globe and Mail / CBC)
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Les compagnies d’assurance canadiennes favoriseraient le vol d’œuvre d’art
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