VERSAILLES [30.11.09] – A la suite de la plainte déposée par le site Louvre pour tous, l’enquête de la DGCCRF a conclu à l’absence de preuves concernant une pratique commerciale déloyale. La politique tarifaire du musée est jugée « acceptable » par la répression des fraudes.
En août 2009, la Direction départementale de la concurrence, de la consommation, et de la répression des fraudes des Yvelines avait été saisie par le site Internet Louvre pour tous concernant la politique tarifaire du Château de Versailles. Louvre pour tous considère en effet que la vente d’un billet commun pour les expositions temporaires et la visite du château constitue une vente forcée.
Le dossier a été instruit par la Direction générale (DGCCRF) qui a rendu son avis le 9 novembre dans un courrier adressé à Bernard Hasquenoph, fondateur de Louvre pour tous. La DGCCRF reconnaît qu’ « en l’espèce, au regard des éléments de la cause, il paraît difficile de caractériser l’existence d’une pratique commerciale déloyale au sens de l’article L. 120-1 du code de la consommation. »
Concernant la vente combinée des billets pour les expositions permanentes et les expositions temporaires, la DGCCRF explique que « le fait même que l’exposition [temporaire] se déroule dans le cadre d’un château rend difficilement séparable les deux prestations. »
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La DGCCRF donne raison au Château de Versailles
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