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Souvent considérée, à tort, comme un simple moyen de reproduction, l’estampe ou image imprimée sur un support souple grâce à une matrice, reste aujourd’hui méconnue. Apprécié par certains collectionneurs pointus pour les pièces anciennes, le médium connaît pourtant un regain d’intérêt chez les artistes contemporains. Mais contrairement aux États-Unis, le marché français reste difficile. Une tendance que compte bien inverser du 27 au 29 avril le Salon international de l’estampe. Abrité cette année au Grand Palais et adossé au Salon du livre ancien, il entend notamment conquérir le public des bibliophiles. Plusieurs biennales estivales poursuivent également cette ambition. À lire aussi”¯: un panorama des institutions européennes dédiées à l’estampe et un rappel des procédés techniques.
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