Georges Tony Stoll n’est pas peintre, il peint, c’est différent. Rue Beaubourg, il présente une quarantaine de tableaux réalisés entre l’été 2016 et aujourd’hui, qui appartiennent à une série en cours intitulée Paris Abysse.
Sur des toiles de moyens et grands formats, l’artiste peint des formes géométriques et organiques flottant sur des fonds or ou des aplats de couleurs : « l’espace et le vide », nous dit Frédéric Chassey dans le texte du catalogue de l’exposition. Parallèlement, Georges Tony Stoll dévoile une dizaine de toiles abstraites à la Galerie Poggi, résultats d’une expérience – « une parenthèse », dit-il – qu’il a menée : des taches de couleurs déposées sur la toile, recouvertes d’eau et livrées à elles-mêmes… Absurde, comme le voudrait le titre de la série ? Plutôt bouleversant. Compter entre 12 000 et 40 000 euros selon les formats et les tableaux.
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Georges Tony Stoll - En galerie
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°706 du 1 novembre 2017, avec le titre suivant : Georges Tony Stoll - En galerie