Nadine Gandy n’a pas attendu plus de trois ans après la chute du communisme pour se décider à ouvrir une galerie d’art contemporain à Prague. La première du genre en Europe de l’Est. De Nobuyoshi Araki à Lawrence Weiner, en passant par Nan Goldin, Douglas Gordon, Jonas Mekas, Mathieu Mercier, Pedro Cabrita Reis, Yves Netzhammer et Rirkrit Tiravanija notamment, c’est l’art le plus pointu qu’elle a montré (ill. 4). En plus d’artistes tchèques comme Vaclav Skacel ou Vaclav Stratil. Une expérience pas toujours facile mais qu’importe, Nadine Gandy adore prendre des initiatives. En 2002 avec Matali Crasset, elle a mis en œuvre un projet de production, nommé fab• , consacré à trois collections distinctes, l’une au verre, l’autre à la cire, la troisième au savon. Tobias Rehberger, Bruno Peinado, Mathieu Mercier, Fabrice Gygi, Stéphane Magnin comptent parmi les artistes dont un objet a déjà été édité. Et ce n’est pas fini ! Non seulement Nadine Gandy est à la Fiac avec la plupart de sa bande mais elle ouvre prochainement un nouvel espace à Bratislava (Slovaquie).
Gandy gallery, Skloslà 7, Prague 1, République tchèque, tél./fax 4202.96233066, www.gandy-gallery.com, hall 5.1, stand C 72.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Gandy gallery
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°562 du 1 octobre 2004, avec le titre suivant : Gandy gallery