En bon graveur qui se respecte, Frédéric Voisin connaît l’histoire et les maîtres de la gravure.
Après avoir réinterprété L’Apocalypse de Dürer, l’artiste emploie ses gouges – il pratique la linogravure – pour relire L’Apocalypse de Jean Duvet (1485-1570), immense graveur langrois de la Renaissance. On y retrouve les couleurs franches empruntées à l’imagerie populaire, si caractéristiques du travail de Voisin, comme son univers singulier peuplé de monstres, de dragons et de squelettes, où l’on ne serait pas surpris de voir débarquer un de ces extraterrestres qui peuplent d’autres séries de l’artiste.
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Frédéric Voisin - Musée d'art et d'histoire
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°703 du 1 juillet 2017, avec le titre suivant : Frédéric Voisin - Musée d'art et d'histoire