Commissaire de l’exposition « Nicolas de Staël, 1945-1955 ».
Qu’est-ce que cette rétrospective apporte de nouveau par rapport à celle de 1995 ?
Cette exposition situe l’œuvre de Nicolas de Staël entre 1945 et 1955. Dix années cruciales durant lesquelles il passe de l’abstraction à la figuration et propose, au milieu du xxe siècle, la possibilité de s’exprimer différemment avec tous des risques encourus.
Quelle est la place de Nicolas de Staël actuellement ?
Celle d’un artiste majeur auquel il faut toujours être attentif, comme pour tous les grands artistes du passé. Pour les maintenir vivants, il faut les voir sans cesse. Pour une rétrospective, Le Concert manque tout de même à l’appel… Parce qu’il est trop grand pour le lieu. Mais nous avons les œuvres majeures de grands formats dont les grandes compositions des années 1950 et le Parc des Princes de 1952… Un parcours éloquent pour rendre justice à cet immense artiste.
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Questions à… Jean-Louis Prat
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°626 du 1 juillet 2010, avec le titre suivant : Questions à… Jean-Louis Prat