Qu’est-ce que votre nouveau livre sur Ruhlmann nous apprend de plus, comparativement à celui que vous aviez publié en 1983 ?
Cet ouvrage est une mise à jour exhaustive et, je l’espère, définitive, sur la vie et de l’œuvre de Jacques Émile Ruhlmann auquel j’ai consacré de nombreuses années de recherches. Il me permet aussi de remettre les pendules à l’heure sur les erreurs que l’on a pu écrire. Car bien qu’il représente la perfection ébéniste de son temps, Ruhlmann n’a jamais été ébéniste. C’est un autodidacte qui dessine et fait réaliser ses créations. Et il n’a pas possédé d’atelier d’ébénisterie avant sa consécration à l’Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes de 1925.
Qu’appréciez-vous le plus chez Ruhlmann ?
Son grand raffinement dans tout ce qu’il crée, et son perfectionnisme poussé jusqu’au moindre détail, qui fait qu’un meuble de Ruhlmann est aussi beau dans ses parties visibles qu’invisibles.
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Questions à... Florence Camard, spécialiste de Jacques Émile Ruhlmann
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°618 du 1 novembre 2009, avec le titre suivant : Questions à... Florence Camard, spécialiste de Jacques Émile Ruhlmann